Photo par Thierry Ehrmann
Lu avant de m’endormir il y a quelques jours : L’enfant-singe du Burundhi (sic), texte d’Henri Michaux. J’en ai été saisi (d’effroi en particulier) d’une façon incisive, violente, dérangeante, partagé entre l’ « émotion esthétique » et la sensation d’un cauchemar dont on se passerait volontiers. Peut-être est-ce le propre de l’ « inspiration » d’Henri Michaux : quelque chose (particulièrement lorsqu’il parle ...
Continue Reading